Fiche de présentation
C'est mal de réutiliser une fiche faite pour un autre forum... lolNom : Mon nom, quel importance ? Je n'ai pas un nom connu... Ducas
Prénom : Nom et prénom : Cécilia. A croire que mes parents lisaient dans l'avenir. Enfin, ce n'était pas compliqué quand on sait où j'habite. Cécilia est un prénom avec une signification bien sombre...cécité. Aveugle. Les autres signification semble, par contre, fausse. A moins que j'ai eu de la chance dans ma misérable vie ?
On ne se gêne pas pour me donner des surnoms. On ne se demande pas si cela me fait mal d'être appelée de la sorte. Mais de toute façon, comment pourrais-je me défendre ? Aucun moyen. Aucun. Je me contente d'endurer avec mon air revêche et rebelle. Qui ne fait pas grand effet, quand j'y réfléchis.
En fait, le plus "méchant" ce n'est pas les surnoms mais les petites blagues qu'on me fait... pas le temps de s'attarder la dessus, les autres je m'en fous !
Age : 17 ans
Métier : mendiante ? escroc ? Voleuse ? Manipulatrice ? Perdue dans les tréfonds de mon âme ?
Je n'ai pas de travail, pas de job, rien, je ne saurais pas, c'est tout. Alors je me m'adapte, je me débrouille pour m'en sortir. Pas toujours très droitement, mais la vie n'est pas simple, alors il faut agir avec, c'est tout.
Capacité : régénération rapide (moins puissante que pour les anges et peu apparente mais pourtant présent, les douleurs sont aussi moins vive que la normale) !! pouvoir acceptée parce que servant MAIS tant qu'il n'y a pas de maître, le pouvoir n'a pas d'effet
!!
Défaut : Servante
!! je recherche un ange ou démon qui soit le "maître"!! en attendant je ne bénificie pas de ma capacité !! Histoire : Ses parents n'étaient pas très riches. Ils vivaient dans un taudis et travaillaient tous deux très durement. Malgré tous leurs efforts, ils restaient pauvres. Le désir de Mélinda, sa mère, était d'avoir un enfant, mais leur situation financière ne permettait pas vraiment de mettre au monde un bébé. Cependant, elle parvint à convaincre son mari. 14 mois plus tard une petite fille naissa qu'ils nomèrent "Cécilia". Elle grandit dans la pauvreté de ses parents. A 7 ans, avec son père, elle allait au marché. Là-bas, celui-ci lui expliqua qu'elle devait prendre des patates dans le boxe à terre quand le vendeur ne regarderaient pas par là. A cet age-là, les punitions étaient quasi inexistante, aussi, elle ne prenait pas de risques. Elle vola sans s'en rendre compte, elle était trop jeune poru comprendre. Sa mère n'a jamais été au courrant des activités illégales de sa chère fille.
A ses douzes ans, ses techniques étaient perfectionnées mais le vol devenait pour elle de plus en plus risqué. Si on l'attrapait la sendence ne serait plus aussi tendre qu'avant. Elle prenait conscience de ses actions mais n'arrêta pas. Elle volait, et alors ? Il fallait bien, sinon que mangerait-elle ce soir ? Son père ramenait peu d'argent. Il ramenait pratiquement tout ce qu'il gagnait, ne se permettant de boire que rarement. Sa mère travaillait également et ramenait encore moins d'argent. Tout les soucis d'argent n'étaient pas si grave, pensait Cécilia, ce qui compte c'est que je sois avec papa et maman. Mais ce n'est pas la réalité. L'inocence de Cécilia disparut deux mois après ses douze ans. Son père s'attardait, pour une fois, au bar du coin. Sa mère était souffrait d'une fièvre et était clouée au lit. Elle délirait et quémandait son mari. Cécilia ne sortait jamais la nuit. Elle ne pouvait pas. Ses parents lui interdissaient formellement. C'était trop dangereux. La nuit dans les bas quartiers c'étaient pire que la guerre. Elle ne comprenait pas à cette époque.
Elle sortit donc de chez elle pour s'avanturer dans les quartiers sombres. Elle arriva dans le bar. Elle entra. Son regard se portait sur chaque homme présent. Il y en avait des couchés sur la table, ivres. Deux hommes sur le côté se disputaient à propos d'une femme, visiblement. Et puis elle vit son père, affalé sur sa chaise. Elle s'approcha. Elle attrapa la veste de son paternel et la tira.
<< - aller papa, vient. Maman a besoin de toi.
- Qui t'es toi ? demanda-t-il d'une voix déformée par l'alcool.
- Rentre à la maison. insista-t-elle.>>
Il ne répondit pas. Son attention se dirigea vers les deux hommes qui commençaient à se battre. La plupart des hommes valides se levèrent pour s'approcher. Cécilia fut entrainée par son père. La bagarre prit plus d'ampleur. Cécilia ne comprenait plus rien. les gens se déplaçaient devant ses yeux lui cachait la vue. Sans qu'elle ne comprenne comment, elle fut projetée sur ledevant de la scène. Au même moment. L'un des deux hommes, le nez en sang, poussa l'autre contre les vitres de l'établissement. Il se releva plein de hargne et ne prit pas garde à l'enfant devant lui. Elle reçut un choc violent sur le crâne. Elle pleura mais personne ne se soucia de la gamine sur le sol. Elle ne fut pas piétiné par miracle. Elle s'évanouït.
Quelques heures plus tard, elle se réveilla, des bandeaux un peu partout autour de sa tête. A moitié inconsciente, elle ne saisissait pas le sens des phrases du médecin. Elle tenta de se concentrer mais rien n'y fit. Elle tacha de se rappeler de ce qui s'était passé. Juste l'horreur. Elle avait déjà vu des petits combats et vivait dans un endroit rempli de violence, mais elle n'en prenait conscience que maintenant. Elle sombra à nouveau. Elle se réveilla quelques heures plus tard. Elle était totalement réveillée, cette fois. Son père, sobre, la serra dans ses bras tout en pleurant. Elle entendit le soufle rauque de sa mère un peu sur la droite. Elle était encore affaiblie par sa maladie mais semblait guérir. Ils discutèrent entre eux, Cécilia ne saisit pas tout, ou alors elle ne chercha pas à comprendre ce qu'ils disaient. Le médecin lui posa des tas de questions, mais Cécilia n'eut pas le temps de répondre à une, elle ne dit que quatre mots :
<<- je ne vois rien.>>
Le médecin s'asarda à plusieurs diagnostic puis finalement dut reconnaître qu'elle était aveugle pour peut être plus longtemps qu'il ne le pensait à la base. Il lui fallut plusieurs jours pour assimiler la vérité. Elle ne prenait pas vraiment conscience de ce qui se passait. Elle finit par s'y habitué. Et oublia presque ce qu'était voir.
Sa mère décida de travailler à la maison pour s'occuper de sa fille...aveugle. Ses autres blessures guérissèrent et un an plus tard il lui restait une ou deux cicatrices sur ses avants bras, dut aux éclats de verres et à d'autres chocs. Miraculeusement, elle ne semblait souffrir que de cécité. Le choc à la tête n'avait semble-t-il affecté que cette unique faculté. Elle s'habitua à ne plus voir. Les premirèes années furent difficiles puis finalement, elle développa ses autres sens. Bien entendu, cela ne compeserait jamais ses yeux, mais elle sentait souvent la présence des gens autour d'elle, comme un sixième sesn. Et son ouie était beaucoup plus développée que la norme. Pratique dans beaucoup de cas.
La mère de Cécilia instruisit sa fille avec ces connaissances. Etant fille de professeur, la tâche se révéla assez simple, et Cécilia avait une scolarité presque normal jusqu'à ses quatorzes ans. Les matières devenaient à présent plus complexe et sa mère ne parvenait pas à assumer dans toutes les matières. L'argent continuait de manquer et elle ne pouvait espérer payer un prof particulier. Les vacances scolaires venaient de débuter et déjà ses parents parlaient d'un air grave. Elle ne se posait pas trop de question. Les conversations s'animaient, parfois, ou alors au contraire elles devenaient silencieuse...un échange de regard auquel Cécilia ne pouvait même pas espérer participer. Finalement sa mère opta pour le déménagement dans la capitale. Ils quittèrent donc leur taudis pour un autre. Avec le peu d'argent restant après l'achat de la nouvelle maison, sa mère inscrivit Cécilia dans un lycée huppée. L'année scolaire allait débuter dans quelques semaines.
Elle commença les cours. Le rejet fut immédiat. Cependant Cécilia ne s'en plaignit jamais. Lorsqu'elle se retrouva sans canne, sans chaussure, sans pull alors qu'il faisait moins 5°C, elle était rentrée, ses pieds faisant de jolies traces sur la neige sans rien dire. Arrivée chez elle, elle n'avait montré aucun signe de tristesse et aviat parlé de gentilles plaisanterie. Elle avait l'innocence de croire que ses parents étaient dupes...alors ils continuèrent à la bercer dans l'ignorance. Ils faisaient semblant.
Les années passèrent sans que son cas s'améliore. Elle avait un niveau moyen et n'aimait pas vraiment les cours. Elle devait assister à des cours supplémentaires créés spécialement pour elle. L'adaptation s'était faite assez facilement contrairement à ce qu'on pourrait croire. Elle avait cours pratiquement comme les autres.
L'été de ses seize ans, elle fit la rencontre d'un certain John. Un fils de, un noble, peu importe. Celui-ci gagna la confiance de la jeune fille au prix d'efforts collossaux. Il voulait jouer aux voyous, aux pauvres. Il entraina Cécilia dans le vol à nouveau. Elle qui avait quitté le vol depuis qu'elle était aveugle, y rentrait à nouveau. Ils agissaient sans se faire prendre. Parfois, Cécilia faisait son intéressante pendant qu'il dérobait un objet ou autre. Les gains revenaient pour Cécilia. Mais malgré ses actions considérés comme néfaste pour le karma, elle ne perdait pas de sa splendeur. Oui, elle était lumineuse. Etrange, n'est-ce pas ? Son aura était éblouissante, elle brillait de mille feux. Quiconque ayant croisé la jeune fille ne l'aurait jamais considéré comme une ange [enfin,c e n'est pas une ange, mais son aura est très proche de celle d'un ange]. C'est que sa gentillesse n'est pas vraiment visible. Elle est même planquée sous ses airs sauvages, son impertinense, oui oui, là tout en bas, caché et presque invisible.
Un jour John disparut, mystérieusement. Elle ne sut jamais qu'il avait cherché à la corrompre, la trouvant trop lumineuse et pure.
Elle poursuivit ses vols mais moins souvent, jsute lorsqu'elle était vraiment dans le besoin.
Les vacances scolaires se terminent, elle entre dans sa dernière année, enfin.
lien avec les autres personnages : John (nom pris au hasard, peut être modifié) est un démon qui tenta de la corrompre mais qui renonça après un an.