Fiche de présentation
Nom : Rockwell
Prénom : Dexter
Age : 17 ans en apparence (en réalité ... je ne sais plus exactement 1 peu plus de 500 ans je dirais)
Métier : Tueur à gages
Pouvoir : J'aimerai contrôler la pesanteur (donc impesanteur et apesanteur)... capacité de mouvoir les êtres vivants ou inanimés, ou encore de voler sans ailes.
Formes maîtrisée : Normal et rétracté (et libéré après 500 ans tout de même)
Description physique : Soyons clair, je ne ressemble pas à un ange et heureusement d'ailleurs. Mes yeux sont pourpres tout comme mes cheveux, un peu longs. Je suis grand, il n'y a pas photo puisque j'ai dépassé 1m90 mais mon corps n'est pas celui d'un athlète, il est très maigre, j'aime bien svelte comme description, non ? Sinon que dire de plus ? Je n'aime pas les couleurs claires et je m'habille souvent de noirs ou autres couleurs sombres. Le cuir est mon tissus de prédilection, j'adore cette odeur de tannerie même si de nos jours, elle est purement artificielle.
Description psychologique : Malgré ma vie humaine très perturbée mais don je ne garde aucuns souvenirs, je suis quelqu'un d'un peu trop susceptible. Certains vous diront perturbé car je réagit différemment selon les attaques que je reçoit. Un jour, je fondrais en larmes pour un coup de poing reçu en plein visage alors qu'un autre, je casserai la figure à quelqu'un qui m'aura bousculé dans la rue.
Sinon, je ne suis pas un très bon ami. Pour moi, l'amitié ne signifie rien et certainement pas de mourir pour quelque. L'amour, non plus, ce n'est pas quelque chose en quoi je crois. Je ne crois qu'en mes capacités et ne fais confiance à personne, ami ou équipier. Mais, il faut bien grader en tête cette image d'EVENE :
"Soit proche de tes amis et de tes ennemis plus proches encore"
Signe distinctif :Je vernis mes ongles de "vert de nuit".
Histoire : Je suis né en 1401 en Angleterre. Ma première expérience de la vie ne fut pas glorieuse puisque je fus abandonné par mes parents dès ma naissance. Ce n'était en rien de ma faute, ni celle de mon frère, né le même soir que moi, c'était la faute des superstitions qui existaient encore en ce temps. Effectivement, il portait malheur de voir naître des jumeaux au sein d'une famille et pour conjurer ce mauvais sort, l'un des deux, le plus fragile, était abandonné, voué à une mort certaine. Mais je ne suis pas mort ce 21 septembre 1401. Malgré le froid de ce premier jour d'automne, j'échappais à un funeste destin jusqu'au matin où une jeune bergère me recueillit. Elle m'éleva comme un fils, elle qui avait été frappée par le sort de ne jamais pouvoir enfanter. Je grandis bien et vite et atteignais bientôt 1m86, chose peu commune en ce début de XVème siècle. Lorsque je eut 17 ans, je décider de m'engager dans l'armée du roi Henri V pour subvenir à mes besoins que ma mère malade ne parvenait plus à couvrir. Je fus très vite repéré, j'avais apparemment des capacités d'adaptation à tous milieux intéressantes et une exceptionnelle finesse dans la maîtrise des armes. Je fut alors pourvu au poste d'espion personnel de sa majesté. Je connut alors les prémices de la guerre mais bercé par la protection dont m'octroie le roi, j'en reste malgré tout éloigné. Bientôt, ce même roi trouve femme, issue d'une négociation concernant sa domination de la France. C'est une toute jeune reine que le pays connait mais une très belle reine. Sa sécurité n'étant plus assurée à son arrivée en Angleterre, je fus assignée au poste de garde officiel de sa majesté. Mais cette nouvelle fonctionnalité m'ennuie assez vite, je ne vis plus dans l'ombre et ne peux plus mettre mes talents à profit. Plus goût à rien et même la compagnie de la jolie reine ne m'égayait plus. Heureusement, elle se lassa également de moi et m'envoie intégrer les services secret de sa majesté.
Nouvelle vie : les services secrets deviennent mon paradis, mon refuge. Après un nouveau grade d'espion, j'obtient le titre d'éliminateur officieux, un travail qui est de trouver et de tuer les ennemis reconnus de la couronne d'Angleterre. Je mène désormais ce métier avec une certaine habilité et ne s'ennuie plus du tout.
Tout aller donc pour le mieux dans le meilleur des mondes à présent. Mais le bonheur ne dure jamais longtemps, surtout pour quelqu'un comme moi qui était depuis sa création issu d'une malédiction. Et c'est là que la vie me ramène, vers ce frère dont j'ignorais encore l'existence. Ce ne devait être qu'une mission de plus. Un certain duc d'une province pas plus grande que la ville de Londres était soupçonné d'avoir tuer une famille toute entière pour un retard de paiement d'impôt. Je devait pouvoir le prouvait et la consigne était de tuer le responsable. C'était dans ma province natale que je me rendait. Ma mère était morte d'une forte fièvre au printemps et je promis de lui rendre visite dès la fin de ma mission. Dans le village des soi-disantes victimes, personne ne disait rien, à croire que cette famille s'était envolée du jour au lendemain et que personne ne s'en souciait. Je n'eus d'autre choix que de me rendre directement au château pour dénicher un livre de compte ou un quelconque indice. La tâche ne fut pas dure de se faufiler à l'intérieur de la demeure, une fête avait semblait avoir eut lieu et tout le monde dormait ivre. Je me rendis sans peine dans les appartements du maître des lieux et je fus frappé de frayeur lorsque je découvris les portraits qui maquillait les murs. J'eus l'impression de voir ma vie défiler sous mes yeux, ou plutôt mon apparence défiler dans une autre vie que celle qui fut la mienne. Un jeune homme, peint sur la plupart de ces tableaux me ressemblait atrocement, comme un reflex que l'on observe dans son miroir. Peut-être était-ce cette stupéfaction qui me fit m'emparer d'un journal que je n'aurais pas du lire, car même si le châtelain était coupable de quoique ce soit, sa vie privée et ses exploits amoureux hors union ne devaient pas être à ma connaissance. Seulement, le journal était poussiéreux et intriguant désormais, surement ancien. Je l'ouvris et en lus les premières pages.
Les douleurs de ma tendre l'ont prise ce matin. Les femmes s'affèrent dans toute la demeure et nous hommes nous préparons à la venue de ce nouvel événement. Je suis bien sûr inquiet de voir naître encore une fille, bien que j'affectionne mes trois petites demoiselles. J'attends toute la journée la fin de ce calvaire et enfin les cris d'un enfant mes parvinrent. Un petit cri rauque, impossible que ce ne soit pas un fils. J'en avais supplié le seigneur depuis l'annonce de la convalescence de ma femme et aujourd'hui ainsi, il me récompense. Deux fils sont nés. Malheur sur nous, nous ne pouvons les garder ensemble sinon ils viendront à mourir tous les deux. Pourquoi une telle décision à prendre. Je choisis le plus gaillard pour héritier et le prénommais-je Roland ...A cette instant, des cris fusent dans la maison. J'entendais une femme hurlait comme si on était en train de l'égorgeait. Mon sang froid à toute épreuve ne m'est guère d'utilité à cet instant, je suis figé par la peur. Je parvînt tant bien que mal à me défaire de mes songes et je m'enfuis. Enfin, je croyais m'enfuir parce qu'en réalité je me dirigeais vers les cuisines. Ah ces châteaux, toujours obligés d'être si grands ! Je parvînt néanmoins à sortir par là mais je fis alors la pire rencontre de ma vie. Je me retrouvais devant, je le savais à présent, mon jumeau, celui que ces parents ingrats avaient préféré à moi. Il me regardait d'un air étonné, aussi étonné que moi quelques instants plus tôt, mais visiblement pas pour les mêmes raisons.
"Qu'es-ce que tu fais ici ?" me lança-t-il.
Aurait-il eu, lui, ouïe de mon existence alors que e venait tout juste d'apprendre la sienne et contre la volonté de tous.
"Tu ne devrait pas être ici. Va t'en."En disant cela, il s'écarte du chemin sur lequel il se trouvait et m'indique la direction opposé au château de son père, notre père.
"Qu'es-ce que tu attends ?"Son ton est insistant, mais je n'ai pas l'intention de bouger. Comment pourrais-je encore le laisser me donner des ordres après la vie qu'il m'a volée. Je me jettes sur lui et l'attrape au cou. J'enfonce mes pouces sur sa trachée et presse de toutes les forces qui me fut donnée. Lui ne bronche pas, il n'essaye pas de se débattre pour se défaire de mon étreinte mortelle dans quelques secondes. Pire que tout, il semble sourire, il me sourit et accepte la mort bien mieux que les pires coupables que j'eus rencontré au cours de mes nombreuses missions. Je le regarde partir et disparaitre de ma vie aussi vite qu'il y est apparu. Je comptais mes victimes et je le nommais n°513, ma dernière victime, mon premier péché.
Je m'enfuis maintenant. Je ne peux plus retourner vers ma vie d'avant. Que me reste-t-il désormais. J'ai tué un frère, le seul membre de ma famille qui semblait s'intéressait à moi. Je court, je court, je court, je court encore ... mais je suis déjà loin.
Je suis mort. A quel moment exactement, je ne me rappelle plus. Une flèche a traversé mon torse et percé mon cœur.
Façon dont le perso est devenu démon : Mauvaise personne (On le devine bien)
Se souvient de son passé humain ? NON
lien avec les autres personnages : Aucun